Après les nébuleuses et les grands espaces, voici une immersion dans l’infiniment petit !
Le perpétuel bouillonnement invisible de la matière est ma base d’inspiration pour ma nouvelle collection « Electrons libres »
https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Schopenhauer_-_Aphorismes_sur_la_sagesse_dans_la_vie,_1880,_trad._Cantacuz%C3%A8ne.djvu/35
« À l’intérieur de tout l’organisme règne un mouvement incessant et rapide : le cœur, dans son double mouvement si compliqué de systole et de diastole, bat impétueusement et infatigablement ; 28 pulsations lui suffisent pour envoyer la masse entière du sang dans le torrent de la grande et de la petite circulation ; le poumon pompe sans discontinuer comme une machine à vapeur ; les entrailles se contractent sans cesse d’un mouvement péristaltique ; toutes les glandes absorbent et sécrètent sans interruption ; le cerveau lui– même a un double mouvement pour chaque battement du cœur et pour chaque aspiration du poumon…. »