La toile Nuits boréales 204 nous plonge dans les eaux chaudes des mers corailleuses et nous rappelle la fragilité de l’équilibre de l’écosystème.
L’inspiration des fonds marins dans ma peinture
Visite des trésors sous-marins par la lunette d’un kaléidoscope : le corail se ramifient à l’’infini car à partir d’un nombre fini d’éléments, on peut créer un grand nombre de figures différentes…
« Schopenhauer utilise l’image du kaléidoscope pour montrer la forme de métempsycose qui caractérise l’histoire : les plantes, animaux, hommes et peuples meurent et naissent sans cesse, et sous un changement apparemment incessant, ce sont toujours les mêmes figures qui réapparaissent : les individus meurent, l’espèce vit toujours…. »
Mais pour combien de temps ?